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12 octobre 2013 6 12 /10 /octobre /2013 19:32

 Vu sur le blog de bagnoletenvert : une louable lucidité ...

 Des photos des deux mairies sont ajoutées au texte sur leur blog

 

 

 

 

 Il n’y a pas qu’à Bagnolet que le maire s’offre, avec l’argent des contribuables, un nouvel hôtel de ville mégalo et ruineux, un palais pour l’exercice de son pouvoir.

 

Alors qu’à Bagnolet le nouvel hôtel de ville devrait ouvrir dans les prochains mois, celui de Noisy-le-Grand vient d’ouvrir cette année à la mi-janvier.

 

Osons le dire, la nouvelle mairie de Noisy-le-Grand avec son style pompeux pseudo Louis XIV est presque plus moche que celle de Bagnolet avec ses boursouflures.

 

 

Dans un cas comme dans l’autre, la haute qualité environnementale est un alibi pour le caprice des édiles. Et à Noisy-le-Grand, ils y vont fort : « Les deux ailes qui entourent le bâtiment historique seront couvertes par un toit végétalisé qui offre une bonne isolation thermique. Les eaux de pluie seront stockées et serviront à arroser les jardins attenants. Pour moduler la température à l’intérieur des bureaux, des pare-soleil, installés en façade, s’ouvriront et se fermeront en fonction de l’ensoleillement l’été. Le chauffage sera fourni par une chaudière à bois. Dans un souci d’économie, des détecteurs de présence sont installés dans les bureaux pour faire varier l’intensité des lumières à led en fonction du nombre de personnes dans la pièce et de la luminosité extérieure. Toutes les poubelles sont équipées pour le tri sélectif. »

Disons-le tout net, ce n’est pas avec cela (aussi intéressant soit-il) que l’on achètera notre silence : même « BBC et HQE* » un hôtel de ville mégalo, moche et ruineux ne devient pas  modeste, beau et respectueux d’une gestion saine des deniers publics. À Bagnolet comme à Noisy-le-Grand !

 

Les deux projets d’hôtels de ville, à Noisy-le-Grand comme à Bagnolet donnent lieu aux mêmes dérives financières. Et pas à cause des performances écolos !

 

Dans les deux cas, ce sont les contribuables citoyens qui paient le caprice des maires ! Parti de 26 millions d'euros en 2008, le projet de Noisy-le-Grand en est à 50 millions. Celui de Bagnolet, parti à 22 millions en 2010, en est déjà à 35 ! Et ce n’est fini… Miroir, miroir, suis-je le plus beau et le plus puissant : oui Monsieur le Maire, ce sera 35 millions d’euros pour les contribuables !

 

Pierre Mathon

 

* BBC : bâtiment à basse consommation ; HQE : haute qualité environnementale

       

 

"BAGNOLET EN VERT - L'ECOLOGIE A BAGNOLET"

 

CONTACT :
Tél. : 06 75 27 87 97 
Mail :
 bagnoletenvert@gmail.com

 

 

 

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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 17:59

texte sur chauffage bois pour blog UPR

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1 mars 2012 4 01 /03 /mars /2012 09:35

Enfin !! Le Bois Saint Martin pourra continuer de bénéficier pleinement de son arrêté de Biotope protégeant les écosystèmes dans leur maintien et même leur développement :

 

                                   le Tribunal Administratif de Montreuil par jugement du 23 Février 2012

                                                              ANNULE l'arrêté du 16 Juillet 2010

                                      par lequel les préfets du Val de Marne et de Seine Saint Denis

                          bois-9x13-219x250.jpg

 

                            avaient déclaré d'UtilitéPublique (DUP) l'expropriation du Bois Saint Martin 

                                                                      afin de l'ouvrir au public

 

Le travail des associations protectrices de l'environnement a payé, la sagesse a gagné.

 

Nous rappelons que dans l'arrêté de Biotope, il y a toujours eu, et il y a toujours encore, une partie du Bois ouverte au Public où sont possibles des visites organisées en petits groupes et animées par des professionnels de l'Environnement pour observer la nature dans toute sa quiétude.

 

 

 

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 18:25

La Déclaration d'utilité publique pour l'acquisition du Bois Saint Martin dont s'est enorgueilli modestement le Maire de Noisy le Grand au Conseil municipal de Juillet dernier n'est aucunement agréée par les amis de la Nature qui s'expriment à travers leurs associations de protection de l'environnement.
Une véritable désinformation a circulé depuis plusieurs mois, le commissaire enquêteur qui a eu l'outrecuidance de donner un avis défavorable à cette DUP a été véritablement laminé, les opposants à cette DUP soupçonnés de vouloir faire de l'Urbanisme dans ce Bois ...Ubuesque !

Cette DUP est incompatible avec l'arrêté de Biotope toujours en vigueur (arrêté dont vous trouverez l'original dans les archives de notre blog) : les Tribunaux trancheront.

Ci-dessous un Communiqué d'associations de naturalistes du 77 et du 93 ainsi que de la Fédération Environnement  93 (qui regroupe de nombreuses associations de Seine Saint Denis) soucieuses de préserver les espaces naturels comme beaucoup d'entre nous et qui  agissent contre cette DUP.refonte en publisher du communiqué sur le BSM

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5 février 2010 5 05 /02 /février /2010 09:46
Plancarte01

 

A l'heure où l'environnement est au centre de nombreuses préoccupations mondiales, au niveau local il devient urgent de réagir ! L'ASFV nous a demandé de diffuser ce document : c'est avec plaisir que nous accédons à ce souhait..

La protection de l’environnement est une bien vaste expression …

 Qui eut cru qu’un Fort militaire pourrait faire partie d’Espaces verts ?

Et pourtant, il suffit d'observer par exemple le Fort de Villiers pour constater qu'il est recouvert  de toute une végétation au sein de laquelle des réseaux trophiques intéressants se sont constitués.

Planfort01

































le calque en surimpression sur cette photo aérienne montre les fortifications qui existent sous la couverture végétale.NDLR

Le fort de Villiers appartient à la Ville de Noisy le Grand. Sa superficie actuelle est de 4 ha. Il est définitivement clos et fermé au public depuis Décembre 2009 où des grilles de sécurité ont été posées pour en sécuriser l’accès, la passerelle provisoire d’accès ayant été enlevée. La lecture de nos informations, histoire, vidéos sur notre site : http://www.asfv.eu vous guideront pour mieux le connaître.

Ce fort, comme tous ceux de sa  génération (1870) et type Séré de Rivière, a été enterré sous trois mètres de terre pour amortir les obus. Si, au début de son existence cela se manifestait par des sortes de buttes où ne s’installait dans un premier temps qu’une strate herbacée (voir carte postale ci-dessous), avec le temps, la progression habituelle s’est faite : une strate arborescente puis une arborée se sont mises en place.

Aujourd’hui,  il a été relevé au sein de cet espace devenu « vert » de nombreuses espèces  végétales typiques locales avec développement d’une faune plus ou moins discrète. Quant aux douves qui entourent le Fort, elles présentent la flore et la faune typique des milieux stagnants.

Ainsi,  petits et moyens mammifères (insectivores telles la musaraigne ou la taupe  voire même des oreillards, rongeurs divers, renards) et Oiseaux (toutes sortes de mésanges, pinsons, pics, sittelle, etc…)  cohabitent avec de nombreux amphibiens, lacertiliens, multitude d’espèces d’insectes, arachnides et autres arthropodes terrestres comme aquatiques.

Ils ont tissé avec le temps des réseaux trophiques qu’il convient de protéger comme dans tout espace vert classique

 

L’abondance des feuillus est un puits de capture du CO2 tant récrié et, également,  une source d’Oxygène tant apprécié : les feuilles en effet par leur chimie photosynthétique diurne, capturent du CO2 et produisent de l’Oxygène. Ce dernier est évidemment consommé en priorité par les cellules végétales pour leur propre respiration mais la production est supérieure à cette utilisation : le surplus est alors libéré de jour dans l’atmosphère et participe au maintien de l’Oxygène dans cette dernière  pour assurer la respiration de tous, de jour comme de nuit… Etre près d’une telle « usine » ne peut être que favorable à la qualité d’oxygénation de l’air d’une Ville … D’où l’expression «un Bois, c’est  un poumon vert  pour une ville»

 

Nous devons donc protéger toute cette couverture végétale et les biocénoses qu’elle a créées avec la faune des lieux.

Le fort de Villiers doit être considéré comme tout espace vert à protéger sans compter bien évidemment les structures souterraines construites qui offrent  non seulement des témoignages du passé mais des possibilités d’utilisation actuelle pour de nombreuses manifestations qu’une ville pourrait y engager sans gêner ni les voisins ni les espèces naturelles implantées (clubs, associations, lieux de répétition pour groupes de musiciens, salles de conférences etc …)

Les passionnés d’histoire soutiennent le fort en tant que tel. Les responsables du patrimoine s’y intéressent.

Reste aux Environnementalistes à nous aider à maintenir ce Fort menacé par l’urbanisation.

L'Association de Sauvegarde du Fort de Villiers, richesse patrimoniale de Noisy-le-Grand (93), oeuvre pour le soustraire de l'anonymat et pour sa réhabilitation. Merci de la soutenir dans son action en postant quelques mots sur www.asfv.eu 

 


 

  .93 Fort de villiers entrée couleurWEB
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22 octobre 2008 3 22 /10 /octobre /2008 22:38

 

Quand j'ai acquis ma propriété dans le Parc de Villeflix en 1996, le nymphée était en cours de classement par l'ARPV (Association loi 1901 des Résidents du Parc de Villeflix) et j'ai donc repris ce dossier en cours.

Ce nymphée datant de la fin du XVIIè tout début XVIIIè, unique en son genre en Ile de France à cette époque, a été inscrit à l'inventaire des Monuments historiques par arrêté de Monsieur le préfet de Région le 2 Mai 2000. Ce n'est pas une « maçonnerie » (dixit l'enquêteur public du PLU) ni une « grotte artificielle » comme l'écrit le Noisy magazine d'Octobre mais un monument appelé Nymphée et qui dans le jargon de l'époque est un petit temple comme il en existait dans les Parcs de Châteaux autour de pièces d'eau et où les résidents venaient se détendre et discuter. Ce monument s'appuie sur le coteau et ce n'est pas une grotte creusée par l'Homme !!
 
Avec le temps les infiltrations et la pollution, ce nymphée s'est dégradé et menaçait de s'écrouler.

Dans un premier temps je me suis chargée de son étayage sur conseil de Monsieur Grison, Architecte des Bâtiments du Patrimoine qui,de son côté, a commencé les démarches de restauration conformes au classement.

La restauration a commencé en 2007 et est en cours de finition.
Elle n'a évidemment pas été gratuite! Peu s'en faut !

Le coût des travaux  s'élève à :   

  • Restauration du nymphée : 55 000 euros   
  • 60% à ma charge
  • 30% à la charge de la DRAC (Région Ile de France)
  • 10% à la charge du Conseil général (Département 93)
  •  0% à la charge de la Commune : refus catégorique de Monsieur Michel Pajon maire de Noisy le Grand et député de Seine Saint Denis
  • Travaux paysagers, éclairage, bassins, fontaine, circuit d'eau et murets en pierre sèche : environ 20 000 euros 100% à ma charge.
(ces travaux sont rendus nécessaires pour reconstituer au plus près l'environnement du Nymphée à l'époque de sa construction, l'ensemble des ouvrages périphériques ayant été détruits)

DSC02695
Je tiens à préciser que la DRAC chargée du classement avait demandé qu'il y ait une ouverture dans ma clôture pour que le nymphée soit visible de face et de la rue, ce qui a été fait (le tout encore à ma charge : 2000 euros).

De plus, dans l'état où le nymphée se trouvait avant et pendant les travaux il était impossible de le faire visiter sans risques.
Quand tous les travaux seront terminés, je m'engage à ouvrir ma propriété le Jour du Patrimoine aux amoureux des vieilles pierres : le nymphée est peut être dans une propriété privée mais je tiens à ce que les Noiséens et tous les promeneurs puissent l'admirer de près. Un livre d'or sera ouvert pour qu'ils puissent consigner leurs impressions.
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17 mai 2008 6 17 /05 /mai /2008 18:46
Voilà une jolie histoire qui résistera au bétonnage et bitumage Noiséens.
Mieux que les arbres eux-mêmes en général !
Un quartier qui doit son nom à l'existence, jadis, de Cormiers.
Cet arbre à l'écorce brun orangé a laissé sa marque dans notre histoire. Une trace que des bénévoles passionnés collectent pour ne pas l'oublier.

Est-il vraiment un arbre oublié ?
Certes non, et les anciens sarthois, à condition de les interroger, font volontiers remonter leurs souvenirs. Depuis des dizaines d'années, la société d'étude et de protection de l'environnement du nord et de l'est de la Sarthe se mobilise dans les fêtes et les comices. Ses adhérents y font parler « les ruraux », pour qui le Cormier n'est sûrement pas banal. « Nous avons localisé plus de 300 cormiers », raconte un bénévole qui engrange les anecdotes et usages liés à cet arbre cousin du néflier, du poirier et du pommier.

Un bon exemple d'une tradition rapportée maintes fois : on faisait boire du « cormé » aux jeunes à la fin des moissons. Ce cidre, préparé avec des fruits ou « cormes », est plus alcoolisé que celui à base de pommes.

Le bois du cormier, très dur, servait autrefois à tailler les dents d'engrenage pour les roues des moulins. D'ailleurs quelques artisans fabriquent encore des boules de fort, un jeu angevin connu dans le Maine.   

Une écorce typique avec des écailles allongées et rectangulaires

Parmi les autres éléments montrant l'importance de cet arbre, on pouvait citer les 337 personnes portant le patronyme de « CORMIER » dans la Sarthe et le nombre de lieux dits du même nom.
Le pays du Perche Sarthois reconnaît dans ce végétal un élément essentiel de son patrimoine et des jardiniers en plantent à nouveau. Le travail sur la mémoire du Cormier continue !

CORMIER : nom usuel du sorbier domestique, arbre de 5 à 10 M de hauteur dont le bois est très dur est utilisé pour fabriquer des manches d'outils. Il est souvent confondu avec le Sorbier des oiseleurs dont les fruits qui durent longtemps dans l'année servent de nourriture aux oiseaux.
 Pour l'en distinguer on peut se fier aux fruits ou « cormes » en forme de pommes ou de poires de 4 à 10 mm de long.








SORBIER :
arbre de la famille des rosacées, dont certaines espèces (alisier, cormier) produisent des fruits comestibles. Hauteur de 15 à 20 M.

ALISIER :
arbre du groupe des sorbiers à feuilles lobées et à fleurs blanches dont le bois est utilisé en ébénisterie. Hauteur de 10 à 20M.

ALISE : fruit rouge de l'alisier, aigrelet et d'un goût agréable.















Pas « oublié » le cormier mais il a disparu de notre quartier... Pourtant sa longevité est impressionnante (jusqu'à 4 siècles pour certains specimen).

Compte tenu de sa grande stabilité , capable de drainer des sols argileux problématiques, pourquoi n'inciterait-on pas particuliers et responsables communaux à en replanter ? Dans des endroits où la compétitivité serait peu importante car notre cormier a ses petites faiblesses... il ne supporte pas de pression latérale de la part d'autres grands arbres mais il compense cela par une forte croissance en hauteur.

 Avis aux amateurs d'arbres majestueux


Photos Creative Commons Attribution ShareAkike 2.5    
   
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27 novembre 2007 2 27 /11 /novembre /2007 14:17

La conservation d’un tissu pavillonnaire préserve la nature et les arbres, qui ont été plantés par nos aïeux. Ils constituent un poumon vert au coeur de notre ville très urbanisée, bétonnée et bitumée. Ce sont des lieux de quiétude et du maintien de la faune dont les oiseaux.

Cet ensemble apporte une forme de poésie, qui manque à notre ville.
Et pourtant, une fois de plus Rue du Marnois des arbres d'une trentaine d’années voire plus ont été tronçonnés sans vergogne.
Nous allons bientôt pouvoir contempler un immeuble de plus, avec un R ++++
Les « GRENELLE » de tout poil ne changeront rien à cette folie bétonnière.
PETIT-BOIS-DU-MARNOIS-DSC05709.JPG
PETIT-BOIS-DU-MARNOIS-DSC05710.JPG
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12 septembre 2007 3 12 /09 /septembre /2007 10:50
Encore une attaque contre l’environnement…

Au bord de la Haute Ile, classée ZNIEFF à Neuilly sur Marne, juste en face de la Rive charmante de Noisy le Grand, une route figure au projet du SDRIF.
On peut constater aussi que la réserve foncière sur le tracé de l’autoroute A 103  est hélas conservée dans ce projet ! 

Les berges abritent toute une faune. Une spécialiste  avait fait toute une étude pour réparer cette berge par des méthodes douces et végétalisées. « Environnement 93 » était tout à fait d’accord pour ce type de remise en état qui préservait la vie dans la berge… Déjà les bulldozers ont sérieusement entamé l’ancien écosystème (une friche naturelle) pour y faire un autre complètement différent, une zone humide ...(les riverains sont priés de se prémunir contre les moustiques qui vont proliférer!!).
Promesse a été faite par le Conseil général que cet espace, où toute une population nouvelle et notamment des oiseaux doivent s’installer, serait protégé …
Or, au SDRIF, non seulement le tracé de la A 103 n’a pas bougé d’un pouce et passe par la Haute Ile mais en plus la berge est aussi envahie par une route …!

Nul doute que cela préserve la tranquillité de cette zone ! Les oiseaux iront en fait voir ailleurs et ce futur parc aura disparu avant même d’avoir commencé !!

C’est de l’incohérence pure et simple et l’argent englouti dans l’aménagement important de ce parc partira en fumée … celle des véhicules des routes qui le traverseront et le longeront !!

Le SDRIF, arrêté par le Conseil Régional en février 2007 va être porté à l’enquête publique courant automne 2007 (sans doute dans 2 ou 3 semaines).

Comme de nombreux usagers de ce type de parc, les riverains ainsi que les associations locales de protection de l’environnement ne sont pas d’accord avec ce projet de routes.

Il faudra que tous se mobilisent sérieusement lors de cette enquête.

Nous reviendrons sur la Haute Ile dans un prochain article, une visite ayant été organisée par le Conseil général Samedi 8 Septembre dernier où en plus des élus de Noisy le Grand Neuilly et du Département plusieurs associations  (parmi elles, Gournay Environnement, Association de Résidants du Parc de Villeflix, Mémoire Vive Marne verte, le Comité des usagers des parcs départementaux, la LPO, UFC Que Choisir, Unir Pour Réussir ) et les Collectifs de la Haute Ile Vivante et du A103 étaient représentés.
Par contre peu de public…Il faut dire que cette visite avait lieu le même jour que le forum des associations ! Dommage …

h--ron-sur-chenal-Hte-Ile-Sept-07.jpg
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8 mai 2007 2 08 /05 /mai /2007 18:09
A votre avis quel est le point commun entre toutes ces photos ?
100-0090-img.jpgsquare-cosonneau--3-.jpgcedre-bleu-parc-mairie--1-.jpg
centre-ville-014.jpgElles ont malheureusement été prises à Noisy depuis 3 ans !!!!
Elles concernent des arbres et des squares disparus de notre quotidien !!!
* les arbres du parc de la mairie (une quarantaine d'arbres abattus)
* le square du colonel Remy à côté du marché (avec des arbres centenaires)
* le bois avenue Cossonneau.
Pourquoi notre maire s'acharne t-il sur les quelques espaces verts de la ville ?
Pourquoi n'a t-il pas prévu en concertation avec Epamarne un superbe parc devant le Palacio ?
devant-palaccio--3-.jpgNous pensons que ce lieu aurait pu être un lieu de détente pour les noiséens mais également pour les franciliens venant travailler à Noisy.
Et que penser des bords de marne ?
bord-de-marne--1-.jpgAujourd'hui, nous pouvons nous promener sereinement avec nos enfants et en famille, sans risque de se faire renverser par une voiture, car ils sont fermés à la circulation automobile.
Demain, ils seront ouverts avec la création d'une voie routière, comme inscrit dans le PLU pour lequel nous attendons l'avis et les réserves éventuelles du commissaire-enquêteur !
Les noiséens se demandent quel est l'intérêt de l'équipe municipale pour ces bords de marne ?
A par celui de récupérer des terrains aux pavillons qui bordent les bords de marne !
Nous pensons à l'UPR qu'il est tout à fait possible de préserver nos espaces boisés, la flore et la faune (les espèces végétales, les oiseaux, les petits mammifères), mais aussi les jardins des noiséens qui agrémentent notre quotidien.
Ce n'est pas une possibilité mais un devoir que nous avons de protéger notre environnement pour nos enfants et petits-enfants...

Il est possible d'intégrer pour tout projet d'urbanisme des règles de protection de l'environnement. Ces règles doivent être prises en compte dans tous les cahiers des charges contractuels.
Nous constatons que notre maire et l'équipe municipale n'ont aucunement cette préoccupation dans la réalité, en-dehors du discours...

 

Afin de montrer l'importance que représentent nos bois et jardins, nous vous proposons de nous envoyer vos photos représentant la vie des noiséens dans ces espaces verts. Nous les mettrons en ligne pour sensibiliser notre équipe municipale...

Alors tous à vos appareil photo !
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